« (…) L’animal devient dès lors celui ou celle qu’il n’est plus utile de rechercher ou de trouver. Il permet d’éviter de prendre des risques relationnels qui peuvent paraître trop lourds, puisqu’il s’agirait de s’attacher à d’autres personnes ou pire, d’en devenir dépendant.  »

Dans son article « L’animal dans la famille », J.-A. Malarewicz interroge le rôle joué par ces animaux de compagnie qui ne sont ni hommes, ni bêtes et explique en quoi ils participent de « l’homéostasie » de la famille, c’est-à-dire de son équilibre.

http://www.malarewicz.fr/documents/l_animal_dans_la_famille.pdf

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