« Le renoncement au pouvoir est un acte de pouvoir, « celui de l’individu imposant son choix, se repliant sur son corps et abandonnant le corps politique » , mais il est « démonétisation » du pouvoir, et subordination du pouvoir à plus élevé que le pouvoir : une éthique de la vertu, une intériorité, geste privé de « l’anéantissement de soi ». »

Extrait de la récension par nonfiction.fr de l’ouvrage collectif:Le deuil du pouvoir

http://www.nonfiction.fr/article-6520-mepriser_le_pouvoir.htm

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