Francis Marmande est un type formidable. Chroniqueur au Monde, professeur de Lettres émérite à l’université, spécialiste ès jazz et ès corrida, contrebassiste, il est incollable : il a tout vu, tout lu, il connaît tout le monde – entendons tous les musiciens et artistes généreux et géniaux. Dans son dernier article, il fait l’éloge subtil de l’imperfection. Il faut lire Marmande.

Lire l’article de Francis Marmande

One Response to “Eloge de l’imperfection”

  1. Rose Koughouli dit :

    Wow! Francis Marmande a la couleur du « bleu du Ciel », limpide et vertigineuse. Il est ce professeur que j ai eu le bonheur d’avoir lorsque étudiante a Lyon II dans les années 85. Je revois encore ses douces lèvres prononcer des mots que je voyais littéralement swinguer en moi, penetrant toutes les cordes sensuelles de mon corps qui- a ce moment la- implorait de n’être que cet instrument, cette contrebasse que Francis viendrait s’approprier et m’improviser.
    Oui, je me souviens de cette comparaison legitime que je m autorisais, la princesse de Cleves et moi, Anna Karenine et moi étions semblables, superieures, fortunées d’avoir été frappées par le coup de foudre.
    Brillant. Intriguant. Passionnant. Genereux. Sensible et CRUELLEMENT SEDUISANT.

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