Comment faire enfin moins? Un article inspirant de Philippe Geffroy:
http://www.lesjardiniersdeletre.com/temps-et-serenite/et-si-pendant-les-vacances-moins-ctait-mieux/

Tagged with:

Le thème abordé le 19 juin par notre « Cercle de coachs » avait pour thème  : « Dictature de l’urgence et recentrage flash ». (Participants :  Edouard Stacke, Karine Aubry, Grégoire Jacquiau-Chamski, Agnès Overli, Laure Galvez et Catherine Viasnoff). Les apports ont été synthétisés par Karine et moi-même et l’article dans son intégralité est hébergé sur le site de Karine (lien ci-dessous).

Dans notre quotidien, il est souvent difficile de distinguer l’urgence de l’importance, car paradoxalement, pour le faire, il faut… du temps ! Si tout est urgent, alors rien n’est important ; et s’ensuit une épreuve de souffrance digne de Sisyphe remontant constamment son rocher en haut de la montagne pour le voir immédiatement retomber de l’autre côté.

Nous sommes tous égaux face à l’urgence. Pourtant, le rôle du coach est de ne pas céder à l’urgence de son client. Plus celui-ci est pressé, plus le coach se doit d’habiter pleinement le présent pour inscrire la relation de travail dans le « ici et maintenant ». Une minute peut filer à la vitesse de la lumière comme elle peut se révéler interminable car le temps est une expérience éminemment subjective. Le temps de la relation a le goût de l’éternité : pour chacun d’entre nous, il est urgent de réapprendre à se sentir vibrer et à laisser […]

Pour lire la suite de l’article :

http://www.kolibricoaching.com/management-durable/dictature-de-l’urgence-et-recentrage-flash/

 

Tagged with:
« Toute
Pierre
Dans
Le mur
Se
Sent
Enterrée
Vive. »
Malcom de Chazal (1902-1981) est un poète, écrivain et peintre mauricien, proche des surréalistes.
Tagged with:

Conçue par la commissaire argentine Victoria Noorthoorn, la 11e Biennale de Lyon rassemble 78 artistes du monde entier, venus principalement d’Europe, d’Afrique et d’Amérique latine, dont les œuvres sont exposées sur 13 000 m² dans quatre lieux : la Sucrière, la Fondation Bullukian, le Musée d’art contemporain de Lyon et l’Usine T.A.S.E.

L’oeuvre qui m’a le plus marqué est sans doute l’oeuvre « Stronghold », sorte « d’architecture close » (lunettes rouges) de Robert Kusmirowski, artiste polonais né en 1973. Lire la suite »

Tagged with:

Conférence des Mardis des Bernardins (Collège des Bernardins)
Mardi 13 septembre 2011, de 20h à 21h45
« Tout vient à point à qui sait attendre. »
Immergés aujourd’hui dans une société de l’immédiat et de l’instantané transformée par des révolutions technologiques, nous avons radicalement modifié notre rapport au temps : les distances se calculent désormais en heures, la vie s’accélère alors même que sa durée s’allonge, et le temps semble toujours nous échapper.
Dès lors, le court terme est-il devenu notre horizon, et le temps notre mesure de référence ?
Pour la rentrée, où tout à nouveau s’accélère, prenons le temps de penser la vitesse.

Avec la participation de :
Gil Delannoi, politologue, responsable du pôle « Pensée politique, histoire des idées » au CEVIPOF
Paul Virilio, urbaniste et essayiste, inventeur du concept de la tachynomie (la vitesse devenue norme)
Jean-Louis Servan-Schreiber, Directeur du magazine CLÉS, essayiste

http://www.collegedesbernardins.fr/index.php/rencontres-a-debats/presentation/1627.html

Tagged with:

Michaël Foessel toujours : « Le temps disponible semble disparaître à mesure que nous possédons des outils censés le maîtriser. (…). Dans un réel globalisé, le problème pourrait bien être celui d’une désynchronisation achevée entre les attentes subjectives et les accélérations du réel. »

Quelle réconciliation possible entre le temps du monde et le temps de la vie (Blumenberg)? En entreprise encore plus qu’ailleurs, c’est la course contre la montre : le repos, la stagnation désigne une sorte d’anomalie suspecte. Comment s’arrêter, se (re)poser quand tout continue, – toujours plus vite? Peur d’être dépassé(e), débordé(e) : Kronos dévore ses enfants.

Sur la dévoration des enfants :
« Les figures de la transgression : Deux figures de la dévoration : Cronos et Médée »

Tagged with:

« On regarde la télévision sans l’aimer, et en regrettant de ‘ne pas avoir le temps‘ de faire autre chose. » (Lu dans l’article de Michaël Foessel : « Tout va plus vite et rien ne change : le paradoxe de l’accélération », Esprit, juin 2010).

Tagged with: