« La psychanalyse m’apprend tous les jours qu’on peut rasséréner sans donner de réponse positive. l’interprétation que je propose à un patient n’est jamais directive, elle ne répond jamais à sa demande ; elle se contente de relancer son association libre, sa recherche du temps et du désir perdus, et ainsi seulement elle l’apaise. (…) Cette insolence de l’ouvert n’est certainement pas une consolation , mais conduit à de fugaces sérénités. » (Julia Kristeva, La haine et le pardon, 2005, p. 654).

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